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Quelques sujets donnés à Muzillac au début du XXe siècle.

1909 : Problème pour les cours moyen et supérieur.

Un fermier a employé, pour la moisson qui a duré 40 jours, 2 ouvriers qu’il a payés au même prix. Il a donné au premier 4 hectolitres de blé et 100 francs ; au second, il a donné 6 hectolitres de blé et 70 francs. Quel est le prix de l’hectolitre de blé et quel est le salaire journalier de chaque ouvrier ? Solution page 128

1910 : Dictée et exercices pour le cours moyen.

La vie des champs est la meilleure. Aussitôt que l’herbe pousse et jusqu’à ce que les feuilles tombent, les ouvriers des villes n’ont qu’une seule idée en tête, celle d’aller le dimanche à la campagne. Si la ville était si bonne qu’on veut bien le dire, ils ne la quitteraient pas précisément le jour où ils ne travaillent pas. Ils la quittent comme un oiseau quitte sa cage. On voit qu’ils ont besoin d’air et de soleil. La joie qu’ils éprouvent est un peu folle et s’entend de loin. Ils ne suivent plus les sentiers et les chemins. Ils ne regardent pas toujours aux récoltes qu’ils foulent. Les fleurs font leur bonheur. C’est aussi à la campagne qu’on pêche à la ligne, qu’on déjeune en famille sous les grands arbres, que l’on cueille les fruits bien mûrs, meilleurs que ceux du marché.

Questions :

  1. Pourquoi la vie de la campagne semble-t-elle, auxhabitants des villes, meilleure que celle qu’ils mènent?
  2. Donnez des mots de la famille de jour, chemin, arbre.
  3. Analysez  logiquement : Si la ville était si bonne, leshabitants ne la quitteraient pas le dimanche. Réponses page 128

1934 : Dessin.

Sujet : « Une casserole au-dessus de la ligne d’horizon ».

Des élèves de l’école Sainte-Thérèse de Muzillac

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